En 2021, Hubert Germain, dernier compagnon de la Libération, est enterré. C’est le symbole de la disparition de la génération des témoins de la deuxième guerre mondiale.
Pour tous les acteurs de la mémoire de cette période, cette disparition des témoins pose clairement un avant et un après. Comment transmettre désormais, alors que les témoins ont presque disparu * ?
Naturellement, c’est une question que j’ai abordée avec Isabelle HACHARD-BOUVET et Jean SINTES lors de notre entretien.
* Je pose une petite nuance sur la disparition des témoins. Je l’expliquais dans QUE DEVIENDRA LE 11 NOVEMBRE 2021 ? La diversité des expériences de la deuxième guerre mondiale, celle-ci ayant impliqué des populations civiles et notamment des enfants, plus jeunes que les classes en âge d’être ordinairement mobilisées, complexifie cette question du dernier témoin.
ÉCHO FUNESTE
Cette notion de disparition des témoins vient de trouver un nouvel écho funeste. Les bombardements sur la ville ukrainienne de Kharkiv ont coûté la vie à Boris Romantschenko, 96 ans, rescapé des camps nazis.
Pour soutenir le projet Un passé très présent, il y a plusieurs façons que j’ai détaillées ICI.
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